Il y a longtemp, bien avant ma naissance,
On me devait la vie,
Des vies d'hommes et de femmes,
J'apparu dans un corp,
Un corp de petite fille,
Elle était entubée,
Un corps mort !
Et donc moi aussi dans le tube.
C'était,
Prés d'une barraque en bois,
Prés d'une rivière.
Il y a avait là un bateau,
Et un homme, grand et lourd,
Ou plutôt un ours dans un homme,
Il avait tué un plantigrade...
Lors d'une de mes fuites,
Vers la vie sauvage,
Pour échapper, aux autres,
Barbares...
Qui étaient là aussi,
Une femme et un homme,
Plus jeune, templier, je supose,
Enfin de ceux qui peuvent se promener parfois,
A travers le Temp, pour les affaires aussi.
Il avait de l'argent et un bateau,
Attaché à un ponton.
L'argent était destiné à ma réception,
A la reception et pour me ramener,
Vers une famille.
La vie est complexe,
Et aprés tout de suite,
Ils se mirent à m'adresser,
En jeux de rôle,
Pour me fagiliser.
Sept fois, j'ai du apparaître,
dans ce corp,
Il m'a fallu sept boucles,
Temporelles...
Et setp fois, ils m'ont tués,
Sans abîmer trop le corp,
Ils tuèrent l'ours de l'homme,
Et en utilisèrent sa force,
Pour le fantôme,
Qui m'entretenait le corp,
et pour pouvoir ainsi me reçevoir.
Quelques minutes...
Pour mieux me tuer et prendre des forces.
Ils disaient que je tenais pas ce corp,
Mais pour celà,
Il fallu tout de méme me noyer,
Plusieurs fois.
Alors, la derniére fois...
Je pris le bateau,
Le mis en marche,
Du haut des quatres ans ou cinq,
De ce corp de petite fille,
Qui était pas ci mal...
Et puis avec une truite,
Je m'échappa, vers ma renaissance,
Et c'est un peu ainsi que je pu, aprés,
Devenir un jour, l'homme que je suis,
Eric Loïc ... Thierion, grâce à une femme,
Qui m'a porté et donné la vie...
Et de l'Amour.
Ceux qui m'ont fait tout ce mal et cette,
Souffrance, là sont ici, ou y sont passé...
Dans des entubés ou des corps fantômatiques.
Ils ont ici leur arme, un Fantôme,
enfin tout pour essayé de me prendre mon corp,
Et ma vie, alors leurs dépiotages,
à plein de but,
Mon corp est peut être déjà vendu,
mais pas par moi.
Alors, ils prendront pas ma vie.
La république française en 2011,
Leur offre le gîte et les couverts...
Pour me canibaliser.
Ils voudraient tous faire croire,
que c'est une légende,
Et qu'ils sont mes amis...
Moi, ma vie devait être avec ma Maman,
Au Kivu pour des projets de sens.
Pas pour subir encore,
l'ignominie de leurs méthodes,
Pour leur reproduction inutile pour le monde.
Le chemin pour la souffrance de la croix de "Lorraine",
Est long, c'est qu'une part, seulement,
Les noyades.
je crois bien que ce matin,
il me cannibalisait encore,
Avec un "criquet", hier j'avais eu droit,
A la sauterelle ancienne des pharaons.
Ils m'ont volé t'en de vie,
et d’énergie même temporelle,
Que j'ai cru un jour que mon corps,
allait ce déchirer en deux.
Personnes a subis en une vie,
Ce que l'on m'a fait subir,
Personne, n'a donné autant à l'humanité,
Et à la vie pour l'homme et la femme,
es convergences, que moi.
Je paye, pour mes conceptions, qui ravivent,
t'en de monde.
Je sais que d'autres,
n'osaient méme plus faire de vie,
sur cette planette...
A cause des hommes et des femmes,
Qui ne mérite pas leur vie.
Alors maintenant certain,
ont acquis de petit savoir,
Entitaires, programatiques, et autres...
S'ils m'ont fait beaucoup de mal, et souffrir,
Je sais que les attaques les plus lourdes,
Venaient de plus, loin dans la mouvence Lorraine,
De NancY à New York, en passant par Paris,
Ne dit t'on pas que c'est un Grand N.Y.
Alors ils sont protégés et se protégent.
Les fous de messein de la rue du 12 du vieux Marché,
Je n'ai passé de Marché Diabolique...
Ils on tous été des testeurs, des pilotes et parfois méme des concepteurs d'animaux,
Que j'ai aidé parfois dans le passé en passant...
Quant ils étaient dans des problèmes... avec d'autres,
Généré par d'autres concepteurs sans scrupule,
Ou incompétents parfois.
Et cela en prenant parfois des risques.
peu de Temp et parfois en eux.
Mais, je ne suis pas un de ces fous là,
Du présent, souvent eux méme entubé.
Et bien, que j'ai mes origines profondes,
En Afrique et même en Amérique,
Ma région d'europe, est,
Sur les bord de la moyenne Semois,
Je m'y sens comme chez moi,
Dans ces belles forêts giboyeuses,
Bien que trop froides.
En lien avec ancien avec le moyen orient.
Et il y a un Chalet,
Qui n'est pas celui des Anglais...
Ce Lieu est dans mes forêts enchantées,
d’Europe du Nord,
Encore protégé un peu de la folie des hommes,
C'est celle,
Des hêtres et des sapins de mes Ardennes Belges aux schistes bleus,
Cachant parfois dans ses vallées profondes encore des truites.
Je n'ai rien à voir avec la Lorraine de Nancy, cette cathosie ancienne, et son Austrasie, qui n'est pas mon Australie future peut être et que je n'ai que aidé dans ses projets qui à chaque fois dérivent dans le délire, et en horreur.
Ils se devaient de protéger l'Amour, il le dévore même quant il a de l'intelligence.
Ici, c'est les fous violents qui expliquent à des folles ce qu'est l'Amour :'(
Alors c'est par un enlèvement manipulatoire de ma personne dans ma petite enfance,
Sur les bords du Fleuve Congo, qu'ils ont voulus faire un liens forcés pour une éternités entre eux et moi, ils dépendent de mes souvenirs, et de ce dont je veux me souvenir, et à votre avis ? Ils vont me manger quoi aujourd'hui ? :( et vais me souvenir de celà...
EL'.T
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