dimanche 25 juillet 2010

Mes Aventures de mon oncle pedosexuel

Ils étaient trois adultes,

Ca ne rigolait pas
ils disaient rien,
L'un me tenait fortement par la main,
Il a ouvert la porte de la voiture,
Et un autres a du dire...
"On va t'apprendre à conduire et à passer les vitesses"
Les autres sont resté là,
Debout...
Puis coincé entre lui le le volant,
Il m'a baissé mon petit kapitula,
Puis j'ai senti son sexe énorme,
dur et humide, presque gluant,
Dans la raie de mes fesses...
Je senti londtemp la peur,
Et j'ai pas oublié,
Mon corp tremblant des pieds à la tête,
Sous sa force insurmontable,
A en perdre la raison,
Insuportable pour tout.
A hurler,
sans que un seul son puisse sortir de l'être,
J'ai cru mourrir de ne pouvoir respirer, ce jour là.
Avant de me relacher,
Un des trois à dit,
Un truc du genre,
"Si tu parles de ça,
et du reste !
on est là aussi !"
Longtemp les trois visages ce sont mélangé en souvenir,
et je n'aurais su dire lequel des trois,
m'avait violé ainsi mon enfance,
D'orphelin,
Aujourd'hui je sais,
C'était les trois !
Deux de mes oncles,
pour le troiséme,
je ne s'aurais dire,
Mais c'était devant la maison de mes grands Parents,
Dans la grosse voiture Américaine de mon Grand pére.
Ma propre mére couvre celà et aiment mes oncles.
Mais tous vous dirons que c'est un mensonge
et qu'il n'a jamais eu de voiture américaine,
et pourtant elle était verte.
J'ai eu ensuite mon troisiéme Oncle Gendarme,
à la brigade spécial de recherche aux Moeurs,
qui m'a enculé, autrement,
lui en qui j'avais confiance,
en me livrant de Belgique à Reims,
Avec ma Cogema de futur épouse,
Ma mére et mon pére.
pour une piqure dans le cul...
Dans un service trés spécial,
Vide de malade !
Et puis aprés un transfert en blanchissement,
j'ai eu,
deux années d'enfers médicamenteux.
j'avais 32 ans,
et j'étais en pleine santée mentale et physique.
Ou dois je porter plainte et contre qui !
Ils c'étaient tous entendus et avec la logistique de la DGSE et de son équipe Familiale Africano Belgo Française.
Alors vous comprendrez que je rêve d'amour et d'une jeune femme douce, gentille qui me fasse rire et non une personne qui ne verrait moi que des affaires.

samedi 24 juillet 2010

Mes Aventures de Madame Imbuvable

Je connais une Madame,
qui de son état est une Artiste de talent,
Sa réussite sociale et professionnelle me semble inévitable,
et c'est tant mieux.
Mais madame semble avoir un soucis,
z'avec les choses de l'Amour
et les hommes,
Comme beaucoup de citadine non correctement,
...mise,
en fréquentation.
Alors, madame se détrousse,
vers tout ce qui lui semble être,
dans l'entre d'un féminisme rassurant.
Et donc vers des hommes,
bien ouverts à la domination féminine.
Un mauvais choix qui fait si souvent, dévier vers la frigidité la gentle féminine actuelle, par une sorte de castratrisme évolutif de leur sexualité, non correctement satisfaite par des hommes qui n'osent méme plus prendre la femelle comme il se doit, avec la tendresse d'un doigté dirrect et celle de la fermeté dans la prise, avec une puissance masculine toute positive de ses forces d'Amour.
Alors, je ne suis pas étonné,
quant elle déclare,
"Enfin un homme à ma hauteur"
En pensant sans doute à ce déjà nouveau héro de notre temp post moderne,
le si mal nommé "Greenboy".
Un gros bucheron avec une bonne veille odeur de bois,
des muscles bien enrobés de graisse d'homme,
et transpirant en haletant,
dans une futé bien sombre,
avec une grosse lame et sa baguette de coudrier pour défendre la feminité,
à plus de charme...
que ...cet espéce de lopette en vert,
asseptisé dans son monde bétonné avec une petite seringue dans sa pôche,
si impuissant sans ses infirmiéres et ses autres drogues pour conditionner sans amour, de petites absurdes à des déviances médicales...
Madame, si vous fréquentiez ce type d'énerguméne,
je comprendrais mieux, pourquoi vous étes devenu si imbuvable.
Et si vous n'avez pas de bucherons sous la main,
trouvez vous donc un rustre...
ou un marin pêcheur manchot du coté de Deauville, dans une baie sauvage il y a toujour un trou à l'abris des vents dans l'Ajonc des dunes du Cotentin.
Allez méme vous faire trousser par un ancien passeur de la semois,
mon grand oncle l'avait été toute sa vie,
et à 70 ans,
il satisfaisait parrait il, encore une jolie demoiselle de 28 ans,
presque chaque jour.
C'est qu'il savait manier la gaffe, l'Albert Beau... !
Des vieilles du village des tordus comme moi,
disaient que c'était un cochon,
avec le sourire des coquinnes,
elles avaient l'air dans connaitre un brin,
mais il faut dire que l'été,
elles allaient presque toutes à la fôret,
... ramasser les myrtilles,
et profiter d'autres frugalités de la généreuse nature de la Gaume,
pour leurs meilleures configures
et aussi pour garder la santé grâce à des gelées royales odorantes,
Pour pas prendre trop de risque ...de grossir.
Enfin...
Madame ...l'imbuvable !
trouvez vous,
un homme a votre chausse,
mais un vrai,
encore plein des prodiges,
de nature tendre et brute,
sans label inutile,
en muscles "sidérals" précaires,
pour que votre si douce pegase,
ne soit pas l'encornée d'avance
de la mythocracie technocratique.
EL'.T

vendredi 23 juillet 2010

Mes Aventures De Ma Demoiselle K

Je vais vous raconter une histoire,
il était une fois...
non là, je déconne,
c'est pas un conte pour les enfants,
mais plutôt pour leurs grands.
Donc,
je reprend,
Il était une fois dans ...
l'est de la France,
bon...
je sais là,
je casse le décor.
vous là,
devant...
je le vois bien,
à la tronche que vous faite,
vous étiez déjà en train de rêver,
de Claudia Cardinal,
à moitier nue,
Courant aprés moi...
dans l'ouest d'un desert Espagnol,
sur fond de Ennio Morricone,
Cochon, va !
Tiens,
j'oublais la musique...
Attention avant de cliquer,
faite le dans dans un nouvel onglet,
sinon,
vous allez pester aprés moi !
voilà :
http://www.deezer.com/fr/mus#music/orchestra-diretta-da-ennio-moricone/the-genius-of-ennio-morricone-134964
Donc le décors,
c'est la limite entre l'emplacement ancien,
d'un vieux marché celte disparu
et d'une forge au village oublié des leuques,
Euh pour faire simple...
C'est la rue devant ma fénetre !
Là...
dans mon quartier HLM.
je vous sens interloqué sur le décor,
et de méme concernant,
le titre de la demoiselle,
qui ne s'appelle pas Claudia.
De toute façon,
le K en Italien n'existe pas,
il est toujour remplacé par le Q.
Nonnnn, bande de coquin,
pas,
par le trés joli cul,
de la jeune personne,
que je nomme comme un cas.
Revennons au Q,
Euh non,
je m'emméle dans les lettres et les mots,
donc,
repartons du cul de mademoiselle K...
Mrd !!!
là, je dérive,
je crois savoir,
qu'elle est encore mineur.
Une bonne Affaire en plainte,
avec un salaud d'avocat !
Aie...
Ah, non,
j'ai déjà assez,
du divorce de ma femme !
Bon,
...elle a plus de douze ans...
quand méme, ça j'en suis certain !
Mais non ...
je vous charie,
C'est de la provoque.
Elle est bonne,
c'est une jolie demoiselle !
Pour tout vous dire,
à mes yeux,
son
...derriére,
est le plus beaux du monde.
Il serait sans doute pour nombre d'entre vous,
aussi indistict,
que la rose du petit prince.
Mais cette rose là : c'est mon cas,
qui me comble, rien qu'en passant devant ma maison.
Je me demande,
vraiment
...comment !
c'est possible.
Elle est plutôt, assez commune,
mal élevé,
et méme un peu,
vulgaire.
Soit,
elle a les arguments de sa jeunesse...
mais elle reste pour moi un cas particulier.
Pourquoi donc,
cette jeune personne,
à t'elle ce pourvoir de charmer à ce point ma vie.
Celà reste un mystére,
que je ne m'explique pas vraiment...
bien au delà de mon intéret,
visuel pour ses formes scéniques.
J'en ai bien causé en com sur mon facebook,
avec des copinnes,
C'était limite scandale pour des femmes dites mures...
Elles ont sans aucun doute raison,
et elles m'ont trounicoté en me disant que c'était,
un fantasme de vieux cochons qui voulait,
se taper la jeunette.
Non, mais !
C'est pas vrais,
Elle n'ont pas dis ça,
Mais je veus bien...
comme celà !
Ce sont des charmeuses,
en finesse que j'adore,
mais, elles le pensaient,
si fortement au bout de leurs ongles crissant,
sur les touches de leur clavier averties,
que j'en ai frisonné dans le dos.
Elles ont fini par sonner la charge,
en avertissements,
à ma conscience,
et mon à inconscience !
qui elles deux, n'ont pas de sentiment de culpabilité.
Mais tout de méme à plus de 30 ans de différence d'âge,
c'est pas simple ...
à oublier un beau rêve ?
méme si celà devait rester,
pour moi qu'une amertume,
aigre douce,
en plat tonique.
Il est nul,
ce jeu de mots,
mais ...je le garde.
j'ai pas mieux à savourer,
au bout de mes lêvres, ce matin.
Oh, mademoiselle K, Oh, Ma Demoiselle !
savez vous, qu'il est 5 h 35 du matin,
et que je me suis réveillé en rêvant de vous.
Au point de me mettre à écrire cette chose,
peu poétique qui joue,
avec des mots ivres de mes désirs,
pour rire des regrets,
que j'ai de ne pas pouvoir vous avoir,
pour mienne, dans ces instants.
Et aussi dans l'avenir,
puisque votre âge est de le vivre dans votre jeunesse,
pour vos bonheurs ...j'imagine et j'espére pour toi.
Alors oui,
Vous les lecteurs qui ne manqueront pas de juger,
et vous avez bien raison de le penser,
finalement, que le cas c'est moi et pas k.
Mais tout de méme laissez moi, défendre ma cause,
en m'enfonçant !
Il y a plus d'une année et demie que la demoiselle,
m'a tapé en "viol" occulaire,
d'un merveilleux coup de ses yeux soudain que je ne puis oublier.
Oui,
je sais,
pas la peine d'en rajouter,
elle était un an et demi, plus jeune encore...
Et je la voyais comme une enfant et je vous le jure, la seconde suivante, j'ai vu la puissance de la séduction d'une femme naissante dans l'effroi stupéfiant des dangers sociétaux de sa puberté.
Euh, je suis un an et demi plus vieux maintenant.
Vous n'en doutez plus,
Moi, n'ont plus !
je suis trés Amoureux en fall in lose,
d'une jeune fille,
loin encore des catherinettes.
De ce K qui le sait un peu,
et elle en joue de temp à autre de ses petits alumages,
dont elle seule a le secret,
et qui enflamme réellement ma vie,
en des instants, de temp à autre.
Et certain jour,
Si je n'ai pas le plaisir de la voir,
Méme un court moment,
celà me rend un peu triste,
de pas avoir vu mon étincelle,
Ce feux follet virvoltant,
passant dans un petit déhanchement,
impossible pour une autre.
Mademoiselle K si vous me lisiez,
Vous en serez que plus méprisante,
de mes faiblesses d'homme,
vis à vis de vos jeunes charmes,
que vous savez certaine,
au que trop bien, d'être éfficaces.
A vrais dire,
c'est un véritable envoutement à faire si peu
que je l'imagine un peu sorciére en Amour,
mais, je ne lui en ferais pas procés,
je lui en suis gré de me faire vibré ainsi si positivement.
Ma demoiselle K,
C'est totalement déraisonnable vous l'écrire,
je crois bien que je vous aime.
EL'.T Vendredi 23 juillet 2010
Et juste parce j'espére encore et toujour qu'il sera le plus fort L'Amour...