mercredi 9 février 2011

Faut il les éffacer ...des tablettes de la vie des hommes ?

Aujourd'hui encore...
A un rond point,
Un camion de service de l'état,
A Failli me tuer,
Le chauffeur,
C'est engagé volontairement,
Dans le rond point,
Pour essayé de me percuter,
J'ai freiné trés fortement,
Puis à l'arrêt,
J'ai insisté,
pour que cette ordure de Lorrain,
Passe devant moi,
J'ai hurlé,
ASSASSIN...
Ce qu'il est sans aucun doute,
Et d'un coup,
J'ai reçu dans le coté du torax,
Une douleur, vive,
violente.
L'équivalent,
En instannée de quatre cotes cassées,
Peut être,
Enfin trés douloureux.
J'ai déjà eu des douleurs naturelles,
Dans les côtes,
Intercostales et eu deux de fracturées,
Donc je peus comparer.
J'ai du m'en arrêter plusieurs minutes,
Plus loin...
Au rond suivant,
La douleur est partie.
Doucement...
Devenant plus suportable,
Si j'étais passé devant le camion,
Si il ne m'avait pas eu,
Si j'avais reçu cette douleur,
En roulant dans le virage du rond point,
Je serais tombé sans doute.
Pour beaucoup,
Ces lignes seront lues comme une fiction,
Improbable,
Et pourtant, c'est la réalité.
La lorraine est une région,
Où je n'ai fait que souffrir,
Ils m'ont tout, pris,
Ma maman, qu'un de leur fils,
Est venu tuer au fin fond,
De l'Afrique,
Un amour de soeur,
Mes enfants,
Mes espoirs.
Et si l'un d'entre eux,
Ou l'une d'entre elles,
Venait vous dire,
Qu'ils voulaient réparer,
Me redonner,
M'aimez,
Celà serait qu'une ignominie de plus,
Dans leurs Mensonges,
Comme ceux de leurs gendarmes,
Comme ceux de leurs Juges,
Comme ceux de "ma mére adoptive",
De sa famille, Lorraine :(
Si Lorraine d'origine.
Je l'ai hais,
Il n'ont pas d'humanité,
Je ne vois pas l'Amour,
Ici.
Leurs bonheurs,
Est pour certains de vous faire souffrir,
Et pour les autres dans ricaner,
C'est un cauchemard,
Ce coin d'europe,
Du pay de la ville de Nancy,
Et des alentours,
Une sorte de Barbarie.
Tout est y pretexte,
Pour vous faire souffrir,
C'est un peuple,
Puissant, qui se cache bien,
Un peuple terrible,
Que je ne comprendrais jamais,
Il ne m'apporte rien,
rien de bien...
De ce que j'aime dans la vie.
Et je reggrete de les avoir aider,
Par le passé...
Je croyais qu'ils avaient de l'Amour,
J'avais du voir que les Amours,
Qu'ils se prépareraient à dévorer,
Sans que je le comprennes.
Ou bien à fabriquer en Leurres,
Pour les couvrir...
Comme mes enfants du reste,
Et ceux que j'ai aimé.
Ils me donnent juste envie,
De les tuer, de les assassiner,
De me venger... d'eux.
Tout le contraire,
De ce que je veus vivre,
Et de ce qui pourrait me rendre heureux,
Tout le contraire de ce que je suis.
Je les haïs.
Ils ne veulent que me boufffer,
Détruire ma vie,
Et ses bonheurs possibles.
Et si cette douleur,
A pu entrer,
C'est parce que avant,
Ils m'ont dépioté tout les muscles,
Du torse et que mes os,
N'ont plus que presque la peau,
Par dessus et dessous les vétements,
et d'avoir,
Subbit d'autre attaque de ce genre,
Je sais qu'elle sont destructrices,
D'énergie, et que ensuite,
Ils vous envoient des entités,
Des arracheurs,
Qui viennent se nourrir,
De vos forces,
Et de vos energies,
De vos fluides...
C'est pas humain,
Une sorte de canibalisme,
Monstrueux.
Je devrais avoir,
Le droit à une arme,
Automatique,
Un M16...
Pour défoncer,
Ces merdes.
J'aurais une armée,
De 2.000.000 d'hommes,
Je ferais plier à jamais,
Ce coin de Lorraine de L'est,
de la France,
Et il faudrait bien autant d'homme,
Pour les briser,
Pour les casser,
Jusqu'au fin fond,
des galeries les plus profondes,
de leurs anciennes mines,
De fer.
Et je leur ferais rentrer,
L'amour,
Et le désir de tendresse,
A coup, de batte,
De base ball,
Dans les côtes,
A méthode Américaine.
Un jour,
j'ai renconter un Homme,
Qui m'avait dis,
Tu vas vivre en Lorraine, toi ?
... Tu es fous !
Je sais maintenant,
Bien plus sans doute que lui,
Ce qu'il voulait me dire.
Je n'ai pas eu d'Amour des Lorrains,
Encore moins des Lorraines...
Je ne sais méme pas,
Si ils savent,
Faire L'amour,
Autrement,
Que le taureau,
Qui monte sur les vaches,
Engrosse, et time.
Ils sont à pleurer,
et à desespérer de l'homme,
Sont t'ils des humains ?
Heureusement,
que j'ai vécu ailleur,
Avec d'autres,
J'ai rencontré, l'amour,
Dans ma vie, et l'amitié.
C'est des Tarrés
et ils générent,
L'enfer aux autres.
Dans l'avenir,
ou que je sois,
Que les peuples des
Lorrains,
Et leur amis.
Ne viennent jamais,
me demander,
La moindre aide...
Jamais.
je n'avais pas besoin,
D'eux, en rien.
Je vois pas ce qu'ils peuvent,
m'apporter, de bien,
Méme pas une vie,
Puisqu'ils ne savent,
que voler, celle des autres.
Et ensuite se couvrir de leur,
Meurtres et crimes,
Sur le dos de l'innocence,
Sur celui de l'Amour.
Pour devenir, Lorrain,
C'est impossible,
Pour moi,
Puisqu'il faut être,
Monstrueux et arriver à faire,
croire que c'est les autres,
des coupables à sa propre,
victime.
Je ne suis pas assez monstrueux,
Et pas un barbare.
Et j'aime trop ceux en qui je perçois de l'Amour.
EL'.T

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire