jeudi 23 décembre 2010

Mes aventures... avec les parents du Pape Noël

Et si je passais Noël sur Facebook,

Celà va être, mon troisiéme Noël,

sans mes enfants,

Et celà ne sera pas vraiment Noël.

Mais Noël avec Facebook,

celà sera mieux qu'avec un spy,

Où qu'avec des cons,

Ce qui est assez équivalent.

Le pére Noël, est sans importance,

Je n'y crois plus depuis longtemp,

Méme aux Familles,

Qui vous vendent, ...

Qui acceptent pour vous,

L'inaceptable.

Qui ruine, votre vie,

Vos bonheurs,

Pour les leurs.

Qui préparent, leurs avenirs,

tout en vous faisant croire,

Que c'est pour le votre.

Mais bon, tout le monde,

n'est pas orphelin à moins de quatre ans.

Alors le pére Noel,

J'y avais cru,

Comme au gentil,

petit Jesus,

Celui que tous,

Ont reggardé aller sur la croix,

Quant, ils ne l'ont pas aidé,

à se relever...

A coup d'hypnose, tout de méme !

Méme aprés avoir passé,

Quatre mois avec des mercenaires,

Dans une guerre en Afrique,

J'y croyais encore... un peu,

Puis,

On m'avait expliqué,

que ma maman,

allait réssussiter.

Il y a méme une dame,

qui avait essayé,

de la remplacer,

Je devais aller la voir,

le soir, en cachette,

dans leurs mensonges,

Dans l'ombre, elle lui ressemblait,

Dans les ombres, de l'entrebaillement,

Mais que dans l'obscurité de sa porte...

J'ai bien,

vu que c'était pas ma maman,

Et qu'aprés le doute,

d'un jour ou deux,

... qu'ils mentaient.

Méme aprés les souvenirs,

Des cadavres, de la mort,

Du sang,

Des explosions des obus,

Des armes, des soldats...

Certain diront que c'était des mercenaires,

Qui pour certains, voulaient,

me tuer...

Ils n'ont pas tué ma mére, eux,

L'un d'entre eux m'a méme porté,

sur son dos, des jours durant,

je crois bien...

Dans les forêts montagneuses,

Du centre de l'Afrique...

Avec parfois, un peu d'opuim,

Pour faire me faire dormir.

Et lui m'a sauvé la vie avec d'autres,

Juste pour ma vie,

Puis tous, contre des promesses,

l'espoir de l'argent...

Pour 120 jours,

un petit prince,

et une petite princesse.

Je crois bien...

Et celà,

Aprés la mort de ma maman,

Enfin, je crois que, j'y croyais encore.

Au pére Noêl.

Et...

La guerre ce n'était si terrible,

Si perturbant...,

Comme certain Spy, dirait,

Surtout pour vous capter, et votre tutelle.

J'en suis sorti encore un petit garçon,

Plein de volonté, de force, de courage de vivre,

De survivre.

J'avais méme apris à compté,

à trés bien compté avec des balles de mitrailleuse.

Puis, plus tard...

On se rattache à ce que l'on peu,

Aux dieux où méme à une nouvelle mére,

Qui vous fait croire,

à la lecture,

Aux mots d'un pére,

dans l'homme au bonnet rouge,

que vous savez, qu'il n'est pas votre.

Puis il arrive, un jour,

Dans votre vie,

avec un petit,

Frére.

Puis celle qui était, nanou,

devient, Maman,

Et pour vos enfants,

Elle devient, un jour manou,

Et vous avez envie de hurler,

Sinon, il n'y a plus de vie possible.

Méme si vous sentez que l'amour,

n'est pas celui d'avant...

Celui qui n'avait pas besoin de mot,

Celui qui tapait pas,

Qui de violentait pas,

Qui ne mentait pas,

Qui ne rabaissait pas,

Qui ne détruisait pas,

Celui qui n'abandonnait pas,

Celui qui aimait,

Celui qui ne fesait pas semblant.

Noël, n'a pas beaucoup de sens pour les orphelins,

Ils sont seuls, avec les autres.

Ils espérent une famille,

Afin, c'était mon cas.

J'ai eu une famille,

De loin...

Mais elle existait,

Entre deux retours,

d'une autre Afrique.

Beaucoup d'orphelins,

en rêvent...

J'ai aimé cette famille,

Une famille de cons,

Inteligents, Pour la plus part.

Qui vous payent pas les voyages,

Linguistiques... qu'a leurs enfants.

Qui vous offre un permis de pêche en rivére,

Quant à vos cousins on paye,

une voiture neuve, en cadeau,

Puis des maisons.

Mais, j'avais vu pire avant.

Les orphelins,

Quant ils ont enfin à nouveau de l'amour,

Auprés d'eux,

Ils peuvent mourrir de le perdre à nouveau,

injustement dans l'injustice des mensonges.

Mes enfants, c'étaient cet amour, retrouvé,

Et la vie...

Et des fous, me les enléves, eux aussi.

Avec leurs lois, qui n'ont pas d'amour,

Que l'amour des affaires, d'argents et d'avocats ou pire encore comme des espoirs de gloriole judiciaire absurde.

Pour aussi couvrir tout leurs mensonges d'état.

On peut hurler tant que l'on veut,

Quant on est orphelin,

personne ne vient,

Personne...

Pour les autres vous n'étes que la charge,

Qui doit rapporter...

Celle qui doit aider à encore plus de confort,

De vacances, de luxe, de bonheur et de vie.

L'orphelin, il doit leur donner de l'Amour...

Et quand ils ont assez,

Quand ils sont assez gavés,

Ils vous renient votre propre vie,

Vous accusent de leurs charges,

Et vous offre dés qu'on leur offre,

La possibilité, à la camisole,

Ou pire.

C'est une ordure ce pére Noël,

Qui fait croire aux enfants,

Qu'il y aurait,

Quelque part un pére supréme aimant,

Pour eux, alors qu'ils n'ont que le leur,

Ou qu'il devrait l'avoir encore...

Ou alors parfois un ami.

Et la mére Noël,

C'est pas une vrai maman,

Elle n'a pas souffert dans l'accouchement,

elle vous a pas vraiment fait les couches,

alors elle ne supporte,

finalement, pas grand chose...

de vous.

Et si elle venait,

sur facebook,

vous rendre visite,

celà serait,

pour pas à pas,

encore vous y nuire,

pour son fils,

L'autre,

Qui a tout pu avoir,

en bonheur.

Alors que vous savez,

que sa valeur d'homme est si moindre.

Que lui aussi, vous a vendu,

comme les autres et que votre tutelle,

C'était pour le construire.

Je méprise ma mére pour celà,

autant que ses amis de la république,

dont ma femme mais pas la maman,

qu'elle est !

Et leurs psychiatres,

Ils ont réduit ma vie, mes bonheurs,

A peau de chagrin,

pour le bonheur des autres,

pour les leurs, que je ne peus imaginé,

que écoeurant.

Pour celui, des familles et de sa famille,

Dont, je vois pas comment,

je pourrais encore y avoir ma place,

Puisque le jour où je leur ai dit,

ma mére,

mon frére,

mes oncles,

mes tantes,

mes cousins,

mes cousines...

j'ai faim.

je suis pauvre,

j'ai tout fait,

pour que celà n'arrive pas,

j'en ai chié, plus que la plupart,

Partout.

j'en ai marre...

J'ai des idées, vous le savez,

Je veus juste ma liberté,

Donnez moi 20.000 Euros,

Rendez moi, un peu de mes biens,

Au moins en prét,

tous, ensemble.

Que je puisses,

commencer, comme,

Auto-entrepreneur,

Et payer le divorse de ma femme,

Pour mes enfants.

Je crois méme que ce jour là,

Un cousin est venu en Ferrari.

Une ferrari...,

Ol avait déjà,

Une mercedez 500, Je crois.

Et moi, j'avais pas 700 Euros,

Pour un avocat, pour mes enfants.

Je leur disais comment,

Que j'avais été correct,

Ils m'ont presque tous répondus,

Va voir un spychiatre,

Va prendre des médicaments.

Je n'ai nul besoin,

Ni du sadisme de leurs médecins,

Ni de leurs cames pharmaceutiques,

qui n'ont rien de douces,

et que j'ecsecre.

Et ils savent,

ils m'ont vu en souffrir...

en torture !

Sans pitié.

Le voilà leur pére noël,

Ils crachent sur vous pour un rien,

Ou pour des actes d'amours,

qu'ils créent dans des prétextes religieux comme malsain...

Pour mieux vous frustrer et vous culpabiliser,

Là ou il n'y a que normalité de la vie.

Et ils vous obligent à la prise de psychotrôpes,

Uniquement pour vous taire...

Mille fois plus destructeur,

Mille fois plus dégradant,

Mille fois pire pour la santée,

Qui ruine méme vos chances d'être amoureux,

dans une impuissance chimisée.

La camisolle,

La chambre campitonée,

Les neuroleptiques lourds,

C'est la méthode, ...

Qu'ils vous souhaites,

pour Noël...

Sans autre raison que leurs culpabilités,

sans Amour.

Ils peuvent presque tous crever,

Je n'aurais pas de larme pour eux.

L'amour,

Ils ne savent pas ce que celà est.

j'en ai reçu petit,

de L'amour,

Qui ne vend pas,

Qui ne vole pas,

Qui ne manipule pas,

Sur les bords du Lac Kivu,

Un amour qui ne vous abandonne pas,

qu'à cause d'un assassin,

ou d'un tueur,

A cause, d'un fou,

Venant de Lorraine,

Qu'un pay envoit,

Pour faire des affaires.

Alors demain,

Je vais sans doute,

être sur ma page,

Seul.

A ne rien espérer,

D'autre,

Qu'un jour,

je puisse enfin,

retrouver,

des amours,

Prés de moi.

Un véritable amour,

Durable,

Une femme,

Aimante...

Une femme amoureuse,

et solide...

Ou pour des amours, de passage...

des amours véritables,

Qui cherchent les bonheurs.

Ou des amours qui tiennent,

et qui,

sans briller de tout feux,

tiennent,

Chaud au corp,

au coeur,

et à l'âme.

L'amour qui frustre pas,

qui ne castre pas,

Qui ne pose pas de question,

Que le bonheur de la vie,

sans trop parler.

Et que mes enfants,

soit prés de moi,

A nouveau, un jour.

EL'.T

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