Il y a dans ce monde des fées,
Certaines sont mêmes aussi des elfes,
Je les appelles mes abeilles,
Elles sont des combatantes de l'amour,
Et des guerriers de l'amour,
Elles peuvent être,
Un peu toutes sortes d'être.
Enfin elles devaient,
L'être et l'ont été...
Elles ne meurent jamais,
Comme moi même.
Elles avait été des êtres puissants,
Il y a longtemps,
Puis leurs temps disparus,
Et aussi celui des grandes Libellules.
Alors elles ont survécu,
En petit êtres volants dans les airs,
Si rapide parfois, invisible.
Des hommes en ont capturés,
Comme toujours par envie de gain,
Et de pouvoir obscur.
Pour certaines,
Ils les rendent dépendantes,
Pour en faire des entités esclaves,
Pour eux leurs pouvoirs,
Parfois,
Pour dévorer leurs semblables,
Pour en faire leurs dents invisibles,
Pour leurs Cannibalismes...
Pour Certains !
J'avais les miennes, en sommeil,
Pour ne jamais qu'elle soient leurs voleurs de vie,
Leurs tueurs.
Oui, certains en ont fait des armes puissances,
Pour des chefs de nations méprisables.
Mais ceux qui les utilises, ainsi,
sont des fous.
Alors parfois,
Ils m'ont mangés avec certaines,
Détournées de moi,
Je ne peus en vouloir à mes fées,
Et à mes elfes.
Ses hommes et ses femmes,
Sont impardonnables,
Il en reste encore des grandes,
Des puissantes,
Je le sais,
J'en ai rencontré,
Plus rapide que tout sur terre.
Plus puissance qu'un avion guerre,
Puissent qu'elles peuvent intégrer le pilote.
Certains en ont préservé à travers le temp,
Ce qu'ils ont pu,
Il n'y a pas que la bétise,
Chez les hommes,
Et certains ils ont eu du courage,
De ne pas casser,
Ce qu'ils ne comprenaient pas,
Complétement.
Et qui était un danger, difficile,
Pour eux et leurs familles,
Alors même une trace d'elle,
Je ne voudrais pas la perdre.
Elles sont plus rares,
Que la plus précieuse des richesses,
de ce monde.
Comme tout ce qui est exceptionnel.
Plus importantes,
que milles et un avion de guerre.
Certaines seraient devenues,
des femmes,
Et méme des hommes.
Elles sont à l'origine aussi de la vie,
Car elles ont servis,
A l'élaboration de l'intelligence,
de l'homme et de la femme,
pour La cognition.
Ils a bien sur les autres abeilles,
Celles qui font le miel...
Aussi importante pour la nature,
Et pour le régal des enfants,
Ou des ours.
Mais moins rare.
Mais elles aussi,
La civilisation du déchets toxiques et du gâchis,
Les détruisent, comme tant de vies.
Alors peut être,
Devrai je,
Pourrai je,
Un jour,
écrire,
aussi la poésie,
des lions,
Des gazelles,
des araignées,
des escargots...
Et tout ce qui vie.
Pour que l'homme,
et la femme¨,
puissent enfin,
Devenir,
Cohérent,
avec intelligence,
pour l'Amour de la vie,
Et pour l'amour et ses forces.
Mais, finalement,
Qu'ils ouvrent donc leurs yeux,
Pour voir...
EL'.T
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