Le mot vice, découle du mot vissé, j'en ai une certitude, la vis étant relativement moins mortel que le cloutage à une époque, le vicelar était donc prisé.
C'est trés catholique ce mot de vice, la visserie existe essentiellement dans les cataloques de quinquaillerie, parfois pour la chirugie aussi.
Le tabac, lui, ne te "vice" pas, son odeur d'ai...lleur te colle à la peau comme son goudron aux paumons.
Alors disons que le fumeur a la colle au tabac comme des gamins des bidonvilles du monde respirent parfois ce qui n'est pas cool, pour vivre ou survivre, a en être désirés ou indésirables dans leur misére sociale, mais libre de vivre un peu encore avec ce moyen de combatre l'incohérance de leur vie.
Parfois aussi une cigarette colle à leurs lévres à en arracher la peau dans des cocktails infernaux.
Des adictes, voilà ce que sont les fuseuses et fumeurs.
Cette adiction c'est un peu s'abattre dans un rapport de vie et de mort plutôt que de vive vraiment sa vie librement.
Et si celà était du canabis ou de l'opuim, celà ne changerait rien au mot, pour moi Ils seraient a dicter dans la liste de ceux qui ne renoncent pas si facilement à leur faiblesse, ce qui ne fait pas forcément d'eux des fumistes.
Sinon dans mon cas, les mots n'ont que le sens qu'on leur donne, alors voilà mon vice, la raison des phrases qui m'échappent dans les sens du plaisir.
L'amour et ses fleurs du bonheur ne pouvant être vraiment un vice, je suis une sorte d'adicte de la tendresse et du sexe, pour la vis en va et vient, dans des mouvements doux ou forts que je réves perpétuels dans des voluptés érotiques infinies explosant en nuée d'émotion comme les vagues éternelles inondes les océans. :). EL'.T
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